Marco

Au départ, Marco souhaite devenir policier. Il ne peut malheureusement pas poursuivre dans cette voie. À cette époque, une vue parfaite est obligatoire et l’opération des yeux est trop chère.

C’est pour cette raison que je suis resté dans quelque chose de semblable au droit et que je me suis inscrit en techniques juridiques. Je voulais devenir huissier de justice.

Il effectue son stage dans un bureau d’huissiers où il est en contact avec de nombreux avocats. Ceux-ci remarquent son esprit d’initiative et ses habiletés relationnelles. Plusieurs d’entre eux lui suggèrent de devenir avocat.

« C’est à ce moment que j’ai eu l’étincelle ! J’allais m’inscrire à l’Université Laval en droit. »

Bruno

Bruno étudie également à l’Université Laval quelques années auparavant. En fait, lorsqu’il choisit son cursus universitaire, il hésite beaucoup entre le droit et l’administration.

« J’ai choisi le droit parce que mon père disait toujours que le droit mène à tout. Je savais que cela allait m’ouvrir plusieurs portes ! »

Il commence l’École du Barreau et devient président de l’association étudiante. Ce rôle lui permet de connaître un nombre incalculable de gens dans le domaine et de se faire offrir un emploi dans un cabinet d’avocats. Au même moment, une opportunité incroyable se place sur son chemin pour partir à son compte.

C’est une occasion en or !

Il saute à pieds joints dans cette première aventure entrepreneuriale qui le mène plus tard vers la création de Lévesque Lavoie.

Initiative

Pour accéder à la profession d’avocat, Marco doit compléter un stage de six mois. Il commence donc son parcours juridique dans un cabinet d’avocats. Dès la première semaine, il démarche un nouveau client et se voit confier la tâche de plaider des dossiers à la Régie du logement.

Le cabinet ne peut toutefois pas lui offrir de poste après son stage. L’un des associés l’informe alors que son ami Bruno Lévesque est à la recherche d’un avocat pour l’appuyer dans ses activités. C’est donc en 2005 que Marco commence à travailler avec Bruno.

À cette époque, Bruno est mon patron. Le travail avec lui est toujours très collaboratif et la chimie opère rapidement.

Collaboration

Un match parfait

Pendant trois ans, les deux avocats développent une excellente complémentarité et une complicité unique. Bruno n’a toutefois pas réussi à créer ce lien avec ses autres collègues. Ceux-ci ne semblent pas partager les mêmes valeurs que lui et Marco.

Je rêvais d’un bureau qui était différent !

En 2008, une chance inouïe se présente à lui : l’achat d’un bâtiment commercial de 8000 pieds carrés. L’objectif ? Fonder un nouveau cabinet d’avocats.

J’ai dit à Marco, tu embarques avec moi ou pas ? Il a tout de suite accepté !

Les deux entrepreneurs décident alors de travailler sous le même nom tout en exerçant leurs activités de façon individuelle et en partageant les dépenses.

Bruno et Marco savent que leur cabinet d’avocats sort des sentiers battus.

Ils offrent un milieu de travail où l’équilibre entre la vie personnelle et professionnelle demeure une priorité. Ils font également en sorte que les employés soient à l’aise de cheminer auprès d’eux pour trouver leur domaine de droit de prédilection.

La hiérarchie n’a pas sa place et personne n’est sur un piédestal.

De plus, la croissance n’est pas l’objectif principal du cabinet. Ce n’est pas important de vendre des heures; un concept toujours bien ancré dans le milieu juridique. Il faut d’abord bien servir les clients et s’assurer que les employés sont heureux dans leurs fonctions.

« Nous voulons évidemment bien gagner notre vie et faire croître l’entreprise, mais ce n’est pas l’argent qui nous motive. »

Dès le départ, Bruno et Marco créent un cabinet d’avocats à leur image. Ils n’arrivent toutefois pas à mettre des mots clairs sur ce qu’ils sont en train de réaliser. Ils engagent donc une consultante pour les aider à définir le tout.

Respect, autonomie, créativité, sens du devoir et discipline sont les valeurs qui ont été identifiées et qui nous guident et nous motivent au quotidien.

Ces valeurs s’appliquent aussi dans le choix des clients. Les deux entrepreneurs ne visent pas les grandes entreprises. Ils préfèrent servir les petites et moyennes entreprises, mais aussi les particuliers. De cette façon, ils ne dépendent pas d’un seul gros client et évitent des risques financiers potentiels.

« La décision de prendre un client est prise en fonction de notre capacité à le servir longtemps de façon récurrente sans que ce soit une surcharge pour les employés. »

Ce choix n’est jamais au détriment de notre gang !

Dans le cas où ils ne peuvent servir un client, ils le réfèrent tout simplement à un collègue. Pour eux, il existe un avocat pour chaque client !

Un changement majeur

De 2008 à 2012, Bruno et Marco sont des associés nominaux. Ils travaillent sous le même nom d’entreprise, partagent les dépenses, mais exercent leurs opérations de façon individuelle. Au fil des années, il devient évident pour eux qu’ils doivent s’unir à 100 % sous la forme juridique de la société par actions.

C’était important pour nous que notre investissement prenne de la valeur tout en faisant croître l’entreprise à un rythme plaisant et agréable.

L’incorporation d’un cabinet d’avocats est un phénomène peu fréquent. Lévesque Lavoie Avocats se démarque sur le marché par ce changement avant-gardiste.

Le 1er janvier 2013, Bruno et Marco deviennent donc coactionnaires.

En 2018, Mathieu Therrien devient directeur général du cabinet. Il ajoute donc quelques responsabilités à son rôle d’avocat. Il soutient ses collègues au quotidien et s’occupe du processus d’intégration des employés. Ce processus commence dès qu’une personne postule.

« Je m’assure que la personne a bien compris le poste offert et je vérifie si elle cadre bien avec l’équipe. Mon premier devoir, c’est de m’assurer que cette embauche ne viendra pas modifier la chimie et l’ambiance du bureau. »

À travers les années, le cabinet fait affaire avec de nombreux consultants en ressources humaines. Grâce à tous leurs conseils, Lévesque Lavoie Avocats affiche des offres d’emplois claires, détaillées et qui représentent vraiment la réalité.

Aujourd’hui, il n’y a presque plus d’erreurs sur la personne que nous embauchons !

« Les gens veulent de la clarté et c’est ce que nous offrons même si ce n’est pas ce qu’ils veulent entendre. De cette façon, les attentes sont réalistes des deux côtés. »

Audrey considère que l’entreprise a atteint une belle maturité dans la gestion du recrutement. Les valeurs sont mieux définies, ce qui permet d’attirer des candidats qui partagent ces mêmes principes. Il y a ainsi beaucoup moins de roulement de personnel.

« Quand un employé m’avertit de son prochain voyage prévu dans trois ans, je suis super contente! Cela prouve qu’il a envie de rester avec nous. »

Complicité

Une ambiance 100 % familiale

L’ambiance qui règne chez Lévesque Lavoie Avocats ressemble à celle que l’on retrouve au sein d’une grande famille unie.

Tout le monde s’entraide, partage ses connaissances et demeure à l’écoute. Chaque employé peut ainsi évoluer à son rythme dans un climat de travail agréable et stimulant.

Il y a également une variété d’activités offertes : 5 à 7, dîners des fêtés, etc. Les employés sont aussi invités à participer à des tournois de balle molle ou de dek hockey. Audrey et Marco constatent qu’ils n’ont même pas besoin de proposer quoi que ce soit.

La particularité, c’est que ça vient des employés. C’est eux qui lancent des idées !

Il est certain que le cabinet ne peut dire oui à tout, mais l’horaire est aménagé pour faciliter la tenue d’activités.

Un esprit novateur

Bruno Lévesque
Avocat et coactionnaire

Avocat à la personnalité entrepreneuriale marquée, pragmatique et constamment à la recherche de la meilleure solution pour ses clients, Bruno Lévesque favorise une relation basée sur la collaboration et la transparence. Il essaie toujours d’adapter le droit en fonction du besoin du client.

« Si je suis obligé de dire à un client de s’adapter au droit, c’est que j’ai tout essayé ! »

Son leitmotiv ?

La solution est souvent dans la prévention et dans la créativité !

Un passionné du droit

Marco Lavoie
Avocat et coactionnaire

Marco Lavoie saisit la possibilité de se lancer en affaires avec grand enthousiasme. Il ferait ce choix à nouveau sans aucune hésitation.

« Tout s’est fait rapidement, mais c’était vraiment naturel. »

Avocat féru de droit, il veille à ce que sa clientèle bénéficie d’un suivi d’une grande qualité, et ce, à chacune des différentes étapes d’un dossier.

Son proverbe favori ?

Si tu veux aller vite, marche seul, mais si tu veux aller loin, marchons ensemble !

Une experte talentueuse

Audrey Ally
Avocate, directrice des opérations et coactionnaire

Avocate responsable du département corporatif du cabinet depuis 2014, Audrey traite avec autant de minutie et de rigueur les mandats de base que les plus complexes, dont les réorganisations corporatives ou les transactions de plusieurs millions de dollars.

« Depuis le départ, j’ai toujours travaillé comme si c’était ma propre entreprise. »

Une citation qu’elle apprécie particulièrement ?

Le meilleur moyen de prévoir le futur, c’est de le créer.

– Peter Drucker

Un conseiller précieux

Mathieu Therrien
Avocat, directeur général et coactionnaire

Professionnel dévoué et rigoureux, Mathieu a à coeur de représenter l’intérêt de ses clients en leur prodiguant des conseils adaptés à leur réalité d’affaires.

Posé et réfléchi, il adhère à la maxime : « mieux vaut prévenir que guérir ».

Ce qui le guide dans ses dossiers ?

Soutenir les passionnés en les écoutant, en les accompagnant et en les aidant à éviter les embûches !