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Charles-Émile Lussier

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Montérégie

Fondée par Charles-Émile Lussier (CEL) dans son garage en 1988, l’entreprise a franchi pas à pas et avec passion les étapes qui l’amènent aujourd’hui à rayonner internationalement. Fleuron de l’ingénierie aéronautique, encore méconnu au Québec, elle collabore avec les plus grands fabricants de moteurs d’avions au monde. Son coeur de métier : la construction de bancs d’essai qui permettent de tester les moteurs d’avion. Un secteur de pointe qui associe technologie et expertise humaine, notamment grâce à Steeve Lepage et Pierre-Alexandre Morais, qui représentent la relève de l’entreprise.

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Les prémices...

Forger son destin

À l’origine de ce projet un peu fou se trouve un homme. Véritable bourreau de travail et visionnaire, Charles-Émile Lussier s’est fait tout seul.

Sur le marché de l’emploi depuis l’âge de 12 ans, il exerce de nombreux métiers. Il travaille de jour comme de nuit, principalement chez Steinberg comme mécanicien diesel, même lorsqu’il étudie au cégep et à la Polytechnique

« J’ai arrêté le travail de nuit seulement à ma dernière année d’université, mais je ne savais pas quoi faire pour m’occuper. Disons que les sorties pour m’amuser m’étaient complètement inconnues. »

Sa trajectoire professionnelle prend un nouveau virage une fois son diplôme d’ingénieur en poche. Il conçoit des camions à incendies aéroportuaires, puis occupe différents postes chez Pratt et Whitney Canada (PWC).

J’ai eu une progression très rapide chez PWC et je me suis retrouvé à gérer plusieurs départements de design mécanique et d’ingénierie de salle d’essais. Mais à la fin, je m’occupais seulement de l’administration de budgets et des évaluations d’employés, ce qui ne m’excitait pas du tout.

À la surprise de son entourage, il remet sa démission en 1988, et dans la foulée, fonde CEL Equipement d’Essai Aérospatial ltée.

 

Volonté & Détermination

 

Surpassement

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Les difficultés du financement

Fabriquer des bancs d’essai dans le secteur aéronautique demande certes des compétences aiguisées, mais aussi un certain coussin financier. Charles fait du démarchage auprès des banques, mais rencontre surtout de l’incompréhension.

« C’est difficile de convaincre les financiers pour un tel projet. Je me suis dit que j’arrêterais quand je n’aurais plus d’argent et je me suis rendu à deux doigts de le faire. »

Il ne peut donc compter que sur lui-même pour développer son entreprise. À la fin de la première année d’exercice, Charles a épuisé toutes ses économies. La clientèle ne semble pas être au rendez-vous et il se prépare à retourner sur le marché du travail.

C’est à ce moment que j’ai décroché mon premier contrat et à partir de là, ça ne s’est plus arrêté.

La persévérance de Charles paye enfin. Il sort de la zone de turbulence et profite tout d’un coup d’un courant favorable. Les bénéfices sur les premiers contrats sont importants, Charles rentabilise principalement sa compétence technique et limite au maximum ses frais. Les affaires décollent, Charles doit engager du personnel et louer des locaux pour suivre la croissance de l’entreprise.

Tout le monde me disait que j’étais un peu fou de lâcher PWC pour cette aventure, mais je me disais que je n’avais rien à perdre à essayer.

En 2022, plus de 34 ans après ses débuts, le chemin parcouru par l’entreprise ne peut que lui donner raison.

 

Autonomie

 

Aujourd’hui, nous vendons des salles d’essai sur tous les continents et notre chiffre d’affaires annuel dépasse les 55 millions de dollars. Je crois que j’ai bien fait de m’accrocher.

 

Des clients prestigieux

 

Aujourd’hui, CEL Aerospace est un leader mondial dans les équipements de test de moteurs de l’aviation civile (hélicoptères, avions, jets), mais aussi militaire. Ses clients se nomment Pratt et Whitney, Rolls Royce, Honeywell, GE… l’entreprise a même été contactée afin de bâtir un banc d’essai pour le compte de la NASA.

Autant dire que les projets d’envergure et les défis ne manquent pas.

Un secret bien gardé

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Confiance

Pour autant, l’entreprise est encore peu connue. Une réalité qui semble convenir à Pierre Alexandre. Il faut dire que CEL Aerospace avance à son propre rythme. Elle n’a pas encore effectué d’acquisition, son développement est organique.

Même si elle compte une centaine de salariés en 2022 et des divisions en Pologne, en Asie et aux États-Unis, elle ne cherche pas la croissance à tout prix. CEL Aerospace construit sa crédibilité avec le temps.

Les relations qu’elle tisse avec ses clients sont solides et reposent sur des valeurs de confiance.

Certains nouveaux clients sont parfois étonnés de découvrir une entreprise avec une telle expertise, mais dont ils n’ont jamais entendu parler. On est un secret bien gardé et ça nous va comme ça.

Vision et valeurs...

Un rapport client hors pair

Si CEL Aerospace s’est hissée parmi les trois ou quatre plus grands joueurs dans son segment de marché, il y a plusieurs raisons pour l’expliquer.

La première d’entre elles repose sur une approche client très poussée, l’une des fiertés de Steeve.

« On pourrait bâtir des instruments selon des normes préétablies qui répondent à 80 % des besoins de nos clients, mais ce n’est pas notre manière de voir les choses, on veut atteindre le 100 %. »

Nos partenaires nous disent que c’est ce qui fait notre marque de commerce.

 

 

En effet, l’équipe de CEL Aerospace dépasse les attentes au quotidien. Elle questionne et challenge ses clients pour aboutir au résultat le plus adapté et optimisé possible.

« On ne laisse jamais tomber nos clients, c’est dans notre ADN. Ils nous perçoivent comme de vrais partenaires, car nous bâtissons des solutions de test véritablement sur mesure qui répondent parfaitement à leurs besoins. »

Cette philosophie porte ses fruits sur le long terme puisque des sociétés comme Pratt et Whitney collaborent avec eux depuis une trentaine d’années. D’ailleurs, l’immense majorité des clients qui décident de faire affaire avec eux ne les quittent plus par la suite.

 

Cibler les besoins

 

Aujourd’hui, nos clients sont nos plus grands ambassadeurs. Ils parlent de leur satisfaction de travailler avec nous. On ne peut pas rêver d’une meilleure publicité.

Laisser les talents s’exprimer

Répondre à des standards aussi élevés demande une grande expertise interne. En d’autres termes, il faut des cerveaux.

Une compagnie ne peut pas survivre au départ de son fondateur si de nouveaux talents ne sont pas développés à l’interne.

Un paramètre crucial que Charles prend en compte depuis ses débuts. Il a en effet recruté Steeve il y a 25 ans alors qu’il sortait tout juste de l’université, et il n’a pas tardé à lui offrir de grandes responsabilités. Il a fait de même avec Pierre-Alexandre et la plupart des employés en qui il a détecté du potentiel.

Ma plus grande fierté est d’avoir réussi à bien m’entourer, c’est facile pour moi de leur laisser les commandes. Steeve est un ingénieur encore plus compétent que moi et Pierre Alexandre est meilleur administrateur que je pourrais rêver d’être.

Chez CEL Aerospace, le diplôme ne fait ainsi pas foi de tout. « Chez nous, chaque personne est importante dans la chaîne, peu importe son statut. Le jugement ne s’acquiert pas avec les études. »

Les trois dirigeants sont donc principalement attentifs aux prédispositions de leurs salariés et ils n’hésitent pas à donner plus de responsabilités à ceux qui en ont les capacités, peu importe leur niveau d’études.

 

Libérer le potentiel

 

On engage des humains, pas des robots. On souhaite avoir des employés créatifs, alors on se doit de leur offrir la possibilité de l’être.

Dans un marché de l’emploi ultra-compétitif où il est parfois difficile de se démarquer, cette manière de voir les choses permet d’acquérir et de conserver le savoir-faire dans l’entreprise.

« Bien sûr que l’on propose d’excellentes conditions à nos employés, mais les autres aussi. Donc, on considère que pour les garder il faut savoir les motiver. Il faut leur offrir des projets stimulants et leur donner la possibilité de s’épanouir professionnellement. »

Pour Charles et ses cadres, le client est important, mais pas au détriment de leurs employés. Ils prennent soin de leur équipe, et en retour elle s’investit pleinement dans les projets. Au final, tout le monde est gagnant.

Favoriser l’interconnexion des savoirs

Avec les départs à la retraite, c’est souvent un pan important du savoir de l’entreprise qui disparaît. Pour ne pas perdre cette expertise, Steeve met en place une méthode astucieuse : « la ligue du vieux poêle ».

« Nous organisons des rencontres entre les anciens et les plus jeunes. Ça leur permet de poser des questions, d’avoir des réponses concrètes et de découvrir des façons de faire que l’on n’apprend pas à l’école. »

La formation du personnel s’effectue aussi en continu grâce à la création et à la distribution de capsules vidéo, de PowerPoint ou de one pager (document simplifié qui regroupe l’information pertinente sur une seule page).

CEL Aerospace considère également qu’il est important pour l’équipe d’avoir une vision globale du processus de fabrication.

« C’est sur le plancher que l’on peut voir concrètement la réalisation de ses plans, en discutant avec ceux qui ont construit et assemblé le produit. »

 

conserver l’expertise

 

Elle encourage donc ses ingénieurs à sortir de leurs bureaux pour se rendre dans les ateliers. Une habitude que Charles préconise depuis toujours et que Steeve et Pierre-Alexandre tentent de renforcer.

« Un ingénieur devrait passer du temps sur le plancher avec l’équipe de production pour devenir meilleur. J’ai toujours pris le pouls de mon entreprise en me promenant dans les ateliers. »

Les cadres mettent donc tout en oeuvre pour favoriser la communication entre les salariés, parce qu’ils croient fermement que cette connexion permet d’atteindre l’excellence. Une méthode qui fonctionne, puisque les dirigeants constatent une réelle évolution dans la manière dont les ingénieurs conçoivent les instruments après leurs visites et leurs échanges en ateliers.

Chez nous, tout est possible. Nos salariés savent que les opportunités et les responsabilités ne dépendent que de leurs compétences et de leur motivation.

Une relation client solide, des salariés valorisés et un transfert permanent des connaissances, voilà donc le tiercé gagnant pour CEL Aerospace. C’est sur ses valeurs que repose sa réussite et c’est sur elles que l’entreprise souhaite s’appuyer pour poursuivre sa croissance.

En coulisse...

Le visionnaire

 

Charles-Émile Lussier
Président et fondateur de CEL Aerospace

 

Diplômé en Génie mécanique, Charles s’est forgé sa place grâce à une détermination sans faille et des semaines de 60 heures plus souvent qu’à son tour.

Aujourd’hui âgé de 70 ans, il regarde avec amusement le chemin parcouru et avec fierté la relève qu’il a su trouver, former et polir. Il est heureux que la pérennité de l’entreprise soit assurée avec les dirigeants qu’il a mis en place.

« Au bout de tant d’années, j’ai appris que je n’avais pas changé. Je ne cultive pas un grand réseau social. Aujourd’hui encore mon entreprise et ma relation avec mes collègues sont prioritaires pour moi. Je referais la même chose, je me suis bien amusé, et que d’aventures à raconter ! »

 

L’homme de solution

 

Steeve Lepage
Responsable des opérations et du développement

 

Steeve est titulaire d’un MBA en gestion d’entreprise et d’un diplôme en ingénierie mécanique. Passionné par la gestion de projets, il aime par-dessus pouvoir toucher à toutes les facettes de l’ingénierie, de la mécanique à l’électronique en passant par la programmation. Sa plus grande force : avoir toujours un plan B au cas où les choses tourneraient mal.

« Je suis arrivé chez CEL comme une page blanche, c’était mon premier emploi. J’ai eu la chance que Charles me donne des responsabilités très vite. Dans une plus grande entreprise, ça aurait pris de nombreuses années avant que je devienne décisionnaire. Grâce à cette confiance, j’ai pu voyager partout dans le monde et élargir mes horizons. »

 

Le fin stratège

 

Pierre-Alexandre Morais
Chef de la direction

 

Pierre-Alexandre a exercé ses talents de financier dans différents milieux avant d’entrer chez CEL Aerospace. Il a notamment oeuvré à la Caisse de dépôt et placement du Québec et au sein de l’équipe des conseils financiers Deloitte. Il n’était donc pas vraiment familier avec l’univers de l’ingénierie et il lui a fallu apprendre sur le tas. Mais, ces collègues affirment qu’il mériterait aujourd’hui un diplôme honorifique d’ingénieur. Il se spécialise bien entendu dans la gestion financière et stratégique de l’entreprise.

« J’ai appris ici qu’il y a une grande différence entre donner des conseils et les appliquer. Il m’a fallu acquérir de l’expérience, principalement sur le plan technique et en gestion de personnel, mais c’est enrichissant et ça m’a permis de rencontrer des complices. »

 

Leadership

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Une esquisse de l’avenir...

Dépasser l’altitude de croisière

Réputée polluante, l’industrie de l’aviation se doit d’effectuer un virage écologique pour continuer à exister. Les gouvernements, tant canadiens qu’internationaux, réclament et soutiennent cette évolution. Plusieurs compagnies ont déjà amorcé le mouvement et produisent des moteurs électriques ou hybrides.

De son côté, CEL Aerospace n’est pas en reste. Elle travaille avec l’Institut national de la recherche scientifique à Québec sur de nouvelles méthodes pour capter le CO2. Elle commence à mettre au point une salle d’essai avec le Centre technologique en aérospatiale pour les nouvelles générations de moteurs hybrides et électriques. L’entreprise québécoise souhaite ainsi adapter cette nouvelle technologie pour la proposer à ses clients par la suite.

À titre plus personnel, CEL Aerospace a profité de la construction de ses nouveaux locaux pour installer des panneaux solaires sur le toit.

On a une capacité de production électrique de 48 kWh avec ces panneaux. Nous sommes donc capables de produire une grande partie de nos besoins et peut-être de générer un surplus par moments. On fait notre part autant que possible et c’est un sujet d’importance pour CEL Aerospace.

 

Des projets ambitieux

À l’étroit dans les anciens bureaux qu’elle louait, CEL Aerospace s’installe dans ses nouveaux locaux en octobre 2022.

« Après 34 ans au même endroit, on avait fini par occuper tous les locaux disponibles dans le parc immobilier où nous étions situés. Comme nous pensons encore grandir dans les années à venir, nous avons décidé qu’il était temps de construire notre propre espace. »

Et l’entreprise a vu les choses en grand. L’usine s’étale maintenant sur une superficie de 31 000 pieds carrés et il reste de l’espace sur le terrain pour construire de nouveaux bâtiments à l’avenir et doubler cette capacité.

En ce moment on occupe environ la moitié du terrain, mais avec les idées que nous avons en tête, il nous faut prévoir de l’espace. 

Les projets ne manquent pas en effet pour CEL Aerospace. Elle prévoit de s’intéresser au marché des moteurs à grande poussée, ceux qui propulsent les avions de ligne. Et, si la société est l’un des leaders dans son marché, ce nouveau segment va demander des ajustements majeurs.

Les bancs d’essai pour les moteurs de ces avions sont beaucoup plus volumineux. Par ricochet, il faut donc construire des installations suffisamment grandes pour les contenir.

« Aujourd’hui, nous avons les compétences techniques nécessaires pour tester ce type de moteurs, mais pas cette expertise en construction de bâtiments. Il va donc falloir nous associer avec de nouveaux partenaires. »

Pour cela, CEL Aerospace regarde vers les États-Unis. Elle connaît les entreprises capables de mener à bien de tels projets et, le temps venu, elle s’associera avec elles pour répondre à la demande des clients.

En attendant, les contrats ne manquent pas puisque l’industrie des avions régionaux se porte bien et que même la pandémie n’a pas, vraiment ralenti ce marché. Charles, Steeve, Pierre-Alexandre et leur équipe sont donc sereins pour les prochaines années et prêts à relever de nouveaux défis.

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CEL aerospace

7150, John Molson
Longueuil (Québec) Canada J3Y 8Y9

450 442-9994

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Direction de l’édition : Audrey Dallaire
Auteur : Erwan Guéguéniat
Conception graphique : Liliane Racine
Graphiste : Élyse Levasseur
Révision : Marcelle Racine

 

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