Read the english version

Construction, Ingénierie

Capitale-Nationale

Classée douzième plus grosse firme d’ingénierie au Québec en 2022, Norda Stelo est un fleuron québécois de près de sept cents employés. Fondée en 1963, elle évolue dans les domaines des infrastructures urbaines et du transport (routier, portuaire, ferroviaire, transport collectif et mobilité intelligente) de l’industrie minière, manufacturière, de transformation ainsi que d’énergie. Depuis 2013, la firme opère une transformation complexe, mais fructueuse, portée par un président rassembleur. 

 

 

Partager sur les médias sociaux

Partager sur les médias sociaux

Les prémices...

L’ambition québécoise

L’entreprise est fondée à La Malbaie, dans la région de Charlevoix, par l’ingénieur Charles E. Rochette. Après quelques années, la firme s’installe dans la région de Québec pour profiter pleinement des grands projets d’infrastructure de l’époque. 

D’autres ingénieurs de confiance se joignent à Charles E. Rochette pour former la firme Rochette, Lajoie, Grondin, Normand, Rochefort et associés. Ils se concentrent à l’époque dans les domaines du transport et du génie municipal. Rapidement, l’entreprise acquiert une réputation nationale grâce à divers mandats importants qui vont peu à peu lui permettre d’étendre son expertise au-delà de la construction de routes. 

 

 

En 1969, un grand projet de relocalisation d’habitations est entrepris à Thetford Mines, aux prises avec des problèmes d’amiante. Grâce au succès de ce projet, la petite firme est choisie afin d’orchestrer le déménagement du village entier de Saint-Jean-Vianney, à la suite du glissement de terrain qui a fait 31 morts le 4 mai 1971, au Saguenay–Lac-Saint-Jean. 

La seule firme d’ingénieurs qui était prête à déménager rapidement et avec compétence les maisons encore debout, c’était nous. 

Au cours des années 1970, trois nouvelles divisions sont créées : urbanisme, transport et environnement. En 1977, la firme fait son entrée sur le marché international avec l’octroi d’un premier contrat dans le secteur de l’agriculture en Afrique. 

Au cours des années suivantes, la compagnie ouvre plusieurs bureaux au Québec et au Nouveau-Brunswick. 

 

Expertise

Premier bureau Roche

Au fil des ans, de nouveaux services s’ajoutent au sein de l’entreprise, qui devient Roche ltée, Groupe-conseil en 1984. En 1999, la firme conclut une entente avec la compagnie américaine The IT Group, société publique cotée à la Bourse de New York. Celle-ci fait faillite en 2002 et The Shaw Group acquiert la majorité de ses actifs, dont la firme Roche. 

Très loin de l’identité et de la réalité québécoise, le style de gestion du groupe américain ne reflète pas les valeurs fondamentales de Roche. 

En 2005, un groupe de cinq employés, dont Alex Brisson, décide alors de racheter l’entreprise des Américains. Roche redevient une société privée entièrement québécoise, détenue par ses employés, avec son siège social situé à Québec, comme c’est toujours le cas aujourd’hui. 

Alex Brisson, 1993

 

 

Dans les années qui suivent jusqu’en 2013, l’entreprise connaît une croissance fulgurante avec plusieurs acquisitions et ouvertures de nouveaux bureaux au Québec, en Ontario ainsi qu’à l’étranger : en Côte-d’Ivoire, en Nouvelle-Calédonie et aux Émirats arabes unis. 

 

International

 

Projet minier Koniambo, Nouvelle-Calédonie 

Protection cotière, Cotonou, Bénin

Le chemin sinueux

Bien après le départ de Charles Rochette et de Jean-Guy Rochefort, Roche a le vent dans les voiles et enchaîne de nombreux projets d’ingénierie jusqu’au tournant des années 2000, dépassant largement les frontières du Québec. Entre 2005 et 2010, le chiffre d’affaires est presque doublé et les effectifs sont triplés. Mais l’histoire prend alors un tournant inattendu. 

Tout bascule en 2010. On a la visite surprise de cinquante policiers dans nos bureaux de Québec, Montréal et Saguenay.

Roche est la cible d’un vaste mandat de perquisition à l’échelle provinciale. Le motif ? Des allégations de fraude et d’abus de confiance. La perquisition, dirigée par l’escouade Marteau, s’insère dans un contexte de lutte contre la collusion et la corruption qui affligent le domaine de la construction à l’époque. 

 

Une période difficile 

Vient ensuite la commission Charbonneau, une commission d’enquête publique chargée de faire la lumière sur les activités de corruption et de collusion qui semblent s’être généralisées dans plusieurs entreprises des domaines de la construction et du génie-conseil. Roche n’est évidemment pas la seule au banc des accusés, mais la couverture médiatique écorche considérablement sa réputation. 

« En 2014, ça a été la pire année. On a plein de poursuites sur le dos et on perd un million de dollars par mois. » 

À l’époque vice-président du secteur Industriel, Alex Brisson est nommé au poste de président et chef de la direction le 15 juillet 2013, au cœur d’une tempête interne exacerbée par la série de scandales qui secouent l’industrie. Mis à pied à peine quelques mois auparavant et réintégré à la demande des actionnaires, Alex a comme nouveau mandat d’effectuer la refonte profonde et durable de la gouvernance de Roche : il doit doter l’entreprise d’un cadre de contrôle adéquat et mettre en place une véritable culture éthique. 

On vit à ce moment-là une tempête parfaite.

En plus de la crise de confiance qui sévit, l’industrie connaît un repli économique qui affecte la réalisation de grands projets dans le secteur public. L’ensemble du génie-conseil subit des pertes importantes et assiste à l’exode de dizaines de milliers d’employés vers d’autres types d’emplois. 

Le chiffre d’affaires est coupé de moitié, on a dû mettre à pied près de 150 employés et 180 autres vont partir par eux-mêmes. On n’avait pas prévu ça. Aujourd’hui, on voit qu’on avait oublié l’humain.

image

Reconstruire la route

Peu de gens auraient accepté de reprendre la barre d’une entreprise en grande difficulté comme l’était Roche en 2013. Pourtant, Alex Brisson se lance dans l’aventure, car pour lui, la seule façon de ne plus être une victime des événements, c’est de changer les choses. 

La tourmente au sein de l’industrie s’est convertie en véritable débâcle à l’interne. 

« On ne faisait que regarder en arrière parce que semaine après semaine, on était frappés par une mauvaise nouvelle. On était incapables de voir en avant. » 

Mais moi, je voulais accepter le défi. Le défi de nous redonner un sens, qu’on regarde ensemble dans la même direction.

Pour Alex, il fallait d’abord rétablir la confiance auprès des troupes et mettre l’intégrité à l’avant-plan au moyen d’une saine gouvernance. L’heure était aussi aux décisions difficiles et au retour à la base. Dans la nouvelle direction que l’entreprise souhaite emprunter, elle prend notamment la décision de se retirer de certains marchés publics qui ne sont pas porteurs. « On n’a pas voulu se cacher mais le nom, Roche, était entaché. » Pour se donner une chance de réussir l’important virage pour survivre à la crise, Roche décide de changer de nom et d’image. 

C’est ainsi qu’en décembre 2015, Roche devient Norda Stelo, un terme en espéranto qui signifie « Étoile du Nord ». L’espéranto, c’est cette langue contemporaine et apatride, créée par des linguistes au siècle dernier pour en faire une langue de communication universelle et sans frontières. Inspirée par une déclaration d’Alex Brisson lors d’un événement corporatif, l’équipe interne des communications s’est arrêtée sur ce nom. 

J’avais dit, en parlant de notre réinvention en tant qu’entreprise : on devrait tous suivre la même Étoile du Nord. C’est ce qui a inspiré l’équipe des communications. Et depuis, on suit tous notre Norda Stelo.

Évidemment, ce ne sont pas tous les employés qui, à l’époque, réagissent favorablement au nouveau nom. 

« On n’a pas voulu rayer cinquante ans d’histoire mais il fallait tourner la page si on voulait commencer à écrire un nouveau chapitre. » 

image

Vision et valeurs...

Gouverner autrement

Norda Stelo entame des changements importants au chapitre de la gouvernance. 

« Pour réussir une transformation organisationnelle, la gouvernance devient
le parapluie à toutes les décisions, afin qu’elles soient prises pour les bonnes raisons. » 

Le virage de la gouvernance s’est donc fait en posant plusieurs gestes. 

« D’abord, on a engagé un commissaire à l’éthique, qui scrute toutes les actions de l’entreprise et qui peut sonner l’alarme si les principes d’intégrité ne sont pas respectés. » 

Norda Stelo met aussi en place une ligne téléphonique permanente pour permettre à ses employés de dénoncer anonymement des situations préoccupantes ou qui sont contraires à l’éthique. 

Le conseil d’administration est lui aussi transformé pour garantir une indépendance en ce qui a trait aux décisions. « Le CA de l’époque était exclusivement composé de dirigeants employés. On parlait davantage d’enjeux opérationnels mais on donnait peu d’orientations stratégiques pour le bien de toute l’entreprise. » 

C’est ainsi qu’un premier administrateur indépendant, Claude Rousseau, est nommé à la tête du CA. Par la suite, deux autres administrateurs viendront s’ajouter. De nouveaux comités sont créés pour assurer une saine gouvernance : un comité de gouvernance et d’éthique, un comité d’audit et un comité de ressources humaines et rémunération.

 

Claude Rousseau

 

« Ces comités sont présidés par les membres indépendants du CA pour garantir une impartialité dans les décisions et les orientations. » 

Le virage est serré. Norda Stelo vit une relance difficile, mais graduellement, la confiance revient. Plusieurs des employés qui étaient partis au plus fort de la crise reviennent dans la nouvelle mouture, quelques mois ou années plus tard. En tirant des leçons importantes, en réapprenant à communiquer avec ses employés, Norda Stelo réussit à retrouver ses valeurs humaines des cinquante dernières années. 

Dans toute cette tourmente, Norda Stelo n’a perdu aucun client.

« On a choisi de se retirer de certains marchés, mais tous les clients qu’on voulait continuer à accompagner sont restés
avec nous. » 

Norda Stelo a réussi à garder la confiance de ses clients grâce à l’expertise et au professionnalisme inébranlable de ses employés, ceux qui sont restés, ceux qui sont revenus et les nouveaux qui ont souhaité faire partie du PROJET NORDASTELO. 

 

Éthique

image

Le projet Norda Stelo

L’une des plus grandes réussites de Norda Stelo est d’être restée attachée à ses valeurs et d’avoir mis ses employés au centre de ses préoccupations. 

Aujourd’hui, l’entreprise tient mordicus aux principes qu’elle s’est assurée de ne jamais remettre en question. 

« Tous les employés ont identifié les valeurs qui leur tenaient à cœur par le biais d’un sondage. Par la suite, on a réuni un groupe de cinquante employés, qui ont défini ces valeurs ainsi que les comportements qui seraient attendus de tous. Je me suis moi-même engagé à respecter à la lettre ces valeurs, et j’ai invité chaque employé à venir me le dire directement si je ne les respectais pas. » 

Ces valeurs : l’adaptabilité, la confiance, l’excellence, l’innovation, l’intégrité et le respect se vivent encore au quotidien. 

Pour vivre collectivement les mêmes valeurs, il faut abolir les silos. Alex s’est donné comme mission d’unifier l’entreprise, peu importe l’expertise que l’on pratique ou le secteur d’activité dans lequel on réalise un projet. Pour lui, moins il y a de barrières à l’interne, plus forte sera la collaboration et l’intégrité. 

 

Engagement

 

Les performances stratégiques et financières sont évaluées globalement. Les succès sont collectifs et les défis sont relevés collectivement également. 

Le Projet Norda Stelo, c’est la mission, la vision et les valeurs qui animent les actions des dirigeants et des employés au quotidien. Le Projet établit également le principe de base très important qui sous-tend toutes les décisions prises par la direction, soit que les employés et les clients doivent être au centre des préoccupations de l’entreprise. 

Ce PROJET, amorcé en 2017, on y fait toujours référence aujourd’hui. C’est ce qui nous rassemble, c’est le NOUS.

 

image

Retour à l’excellence

Après une décennie aussi houleuse, Alex est fier du chemin parcouru et des reconnaissances reçues pour le travail colossal réalisé collectivement. 

En 2021, Norda Stelo a reçu le prix Fidéides dans la catégorie saine gouvernance. La même année, elle est nommée parmi les Sociétés les mieux gérées au Canada, un programme rigoureux mené par le groupe Deloitte, qui évalue scrupuleusement chaque entreprise candidate sous l’angle de sa stratégie d’affaires, sa gouvernance, sa culture d’entreprise envers ses employés et ses clients, ainsi que sa santé financière. 

« On nous avait dit qu’il était rare qu’une compagnie soit nommée dans cette liste à sa première tentative. Mais nous, on a réussi du premier coup. On en est très fiers. » 

La progression exemplaire de Norda Stelo s’est traduite en 2022 par la reconnaissance à titre d’Employeur d’exception au Prix Prospère du Conseil du patronat du Québec. 

« On a été reconnus pour notre saine gestion et gouvernance, et maintenant on est reconnus comme un employeur de choix. Nos talents sont notre ressource la plus précieuse. Sans eux, Norda Stelo n’aurait
pas survécu et ne connaîtrait pas le succès qu’elle connaît aujourd’hui. » 

Être une entreprise intègre et bien gérée n’est pas l’aboutissement du Projet Norda Stelo : On ne veut pas être les meilleurs au monde, on veut être les meilleurs pour le monde. 

 

 

C’est pourquoi Norda Stelo s’est engagée dans la voie de la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) pour devenir une entreprise à impact, déterminée à conduire ses affaires pour le bien commun. 

La certification B Corp est devenue un objectif à atteindre. Basée sur un processus rigoureux qui évalue la responsabilité sociétale sur cinq leviers : les employés, les partenaires, la gouvernance, l’environnement et la société, la certification B Corp mesure la performance en matière de RSE et exige que l’entreprise s’engage dans un processus d’amélioration continue. 

Après un processus d’évaluation qui a duré plus d’un an, Norda Stelo a obtenu cette précieuse certification en septembre 2022. 

Malgré tout ce qu’on a vécu, on est la première firme d’ingénierie au Canada à avoir obtenu la certification B Corp.

 

Réinvention

image

Le Norda Stelo d’aujourd’hui

Aujourd’hui, Norda Stelo compte seize centres d’excellence regroupant les expertises œuvrant dans deux grands secteurs d’activité. 

Le premier secteur, Infrastructures, englobe les infrastructures urbaines et de transport (routier, ferroviaire, portuaire et transport collectif). Le second, Ressources et industrie, se concentre sur les domaines de l’énergie, de l’industrie manufacturière et de la transformation ainsi que des mines et métaux. C’est aussi une nouvelle division axée sur le développement de solutions intégrées pour répondre aux grands enjeux de leurs clients. 

Le tout assuré par près de sept cents talents engagés répartis dans ses opérations au Québec, avec son siège social fièrement situé à Québec, au Canada, avec des bureaux en Ontario, au Labrador, en Alberta et en Colombie-Britannique ainsi qu’ailleurs dans le monde, comme aux États-Unis, à Madagascar et en Nouvelle-Calédonie. 

Norda Stelo connaît maintenant la rentabilité, cumule les histoires à succès de projet en projet et entreprend avec confiance la réalisation de son nouveau plan stratégique axé sur la croissance et l’impact. 

 

Solidarité

Confiance

 

On veut maintenant mobiliser l’intelligence collective pour le bénéfice de nos partenaires, des communautés et de la planète.

 

image

En coulisse...

Le mobilisateur

 

Alex Brisson
Président et chef de la direction

 

Ingénieur électrique de formation, Alex n’a pourtant jamais travaillé en conception ni en ingénierie détaillée.

« L’ingénierie m’a apporté une superbe compréhension du monde, mais ma vraie nature est davantage celle d’un entrepreneur, d’un mobilisateur. »

Rapidement, son sens des affaires le lance dans la réalisation de projets ambitieux. Il participe à l’implantation de deux alumineries au Québec, entreprend et complète un MBA, puis se lance dans un projet entrepreneurial où il promeut un concept de mini-hydroliennes avec des chercheurs de l’Université Laval. Pour Alex, ce projet se solde malheureusement par un échec, mais se révèle particulièrement riche en enseignement. Encore aujourd’hui, il est convaincu que les leçons qu’il en a tirées lui ont servi pour tracer le chemin de sa carrière.

En 1993, il joint les rangs de Roche ltée Groupe-conseil et participe à la réalisation de projets d’envergure qui lui font côtoyer les hauts dirigeants de l’entreprise. Il apprend la gestion administrative des projets, les négociations contractuelles, la gestion de dossiers judiciarisés, et cette expérience lui permet de gravir les échelons jusqu’à la vice-présidence d’un nouveau secteur industriel qu’il aura à développer à partir de zéro.

 

 

Ma plus grande réussite, c’est de permettre à nos employés d’y croire, à notre Étoile du Nord. 

Il tire profit de ses expériences passées, tant de ses succès que des leçons apprises de ses échecs, pour développer son modèle d’affaires et faire grandir ce secteur au Québec et à l’étranger. 

Dans les débuts de la crise interne en 2012-2013, Alex en subit durement les soubresauts. Remercié par l’entreprise, il y est réintégré à la demande des actionnaires en tant que directeur général, puis en juillet 2013, il est nommé président et chef de la direction. Il accepte ce rôle au cœur de la tourmente pour mettre en œuvre sa vision de l’entreprise : abolir les silos, rétablir l’intégrité au cœur des décisions, travailler en collaboration, tous ensemble. 

Les dix dernières années ont été le combat de sa carrière. Il est demeuré toujours aligné sur sa vision pour l’entreprise et est resté à la barre pour les gens à qui il voue une très sincère appréciation. Aujourd’hui, il est fier du chemin parcouru et tire d’importantes leçons qu’il partage généreusement avec les jeunes professionnels dans le cadre de rencontres de mentorat. 

Norda Stelo a le vent dans les voiles, récolte la reconnaissance après des années de transformations éprouvantes et voit l’ensemble de ses employés mobilisés autour d’un projet commun. 

Une esquisse de l’avenir...

L’étoile filante

L’Étoile du Nord d’Alex Brisson est maintenant repartie et tournée vers de nouveaux cieux. En plus de maintenir ses objectifs en matière d’éthique et de gouvernance, elle compte contribuer aux solutions pour faire face aux grands défis du 21e siècle. 

Les impératifs ESG – Environnement, Société et Gouvernance – font maintenant partie de la majorité des planifications stratégiques des grandes entreprises. 

Norda Stelo mobilise ses forces dans la réalisation de projets qui ont un impact concret sur ces impératifs. Depuis 2019, sa stratégie se concentre sur la capacité de ses experts à prolonger la vie d’actifs existants et en optimiser la performance technique et environnementale. 

En plus des bénéfices économiques, cette approche a un impact considérable sur l’évitement de carbone, en limitant l’utilisation de nouvelles ressources pour le remplacement ou la construction de nouveaux équipements ou infrastructures. 

Avoir un impact positif durable va bien au-delà de la simple question de profitabilité.

 

Durabilité

 

Être les meilleurs POUR le monde 

Pour mettre en œuvre son approche de durabilité des actifs, Norda Stelo a mis au point une nouvelle plateforme technologique, STELAR, conçue par ses experts, et qui permet de gérer l’ensemble des données relatives à un ou plusieurs actifs et ainsi de prendre les bonnes décisions pour prolonger leur vie intelligemment. 

STELAR est le premier produit d’une série que Norda Stelo souhaite développer pour appuyer ses clients dans l’atteinte de leurs objectifs et contribuer positivement au bien commun. « L’innovation est au cœur de nos projets et permet à nos experts de repousser les limites de leur savoir-faire. » 

La nouvelle mission de Norda Stelo se définit d’ailleurs ainsi : « Propulser le génie par l’innovation. Ensemble. Durablement. » 

Alex et son équipe entrevoient l’avenir avec optimisme. « Nous sommes convaincus d’avoir fait les bons choix, non seulement pour la pérennité de notre firme, mais aussi pour nos employés, nos partenaires et les communautés au sein desquelles nous agissons. » 

Norda Stelo souhaite devenir un acteur de premier plan dans la lutte pour léguer un avenir sain et prospère aux générations futures. « Nous voulons agir ensemble pour renverser la tendance lourde des changements climatiques, en choisissant de mettre le bien commun au centre de nos décisions d’affaires. » 

Une entreprise qui ose opérer dans un mode d’adaptation et de transformation continue est une entreprise qui ne cesse d’inspirer.

Impact

image

Norda Stelo

Centre d’affaires Henri-IV

1015, av. Wilfrid-Pelletier
Québec (Québec) G1W 0C4

1 800 463-2839

norda.com

Direction de l’édition : Audrey Dallaire
Auteurs : Laurent Mercier-Roy et Christine Sauvageau
Conception graphique : Liliane Racine
Révision : Marcelle Racine

À lire aussi
dans le même
secteur d'activités


Construction, Ingénierie

À lire aussi
dans la même
région


Capitale-Nationale