Maxime Boyer Serge Boyer

Commerce de gros et détail

Montréal

Globocam est le plus grand réseau de concessionnaires de camions lourds au Québec. Appuyée par ses dixconcessions, l’entreprise familiale de deuxième génération propose à sa clientèle une solution sur mesure pour l’achat d’un camion neuf, son offre de financement, son grand inventaire de pièces et ses services de réparation et de maintenance. Détenant plus de 40 % des parts du marché, elle est cheffe de file dans l’industrie québécoise du transport lourd.

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Les prémices...

Cultiver les possibilités

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Serge Boyer, fondateur de Globocam, est issu d’une famille d’agriculteurs. Enfant, il travaille avec ses neuf frères et soeurs sur la ferme familiale, ce qui éveille rapidement son sens des responsabilités. 

Encouragé par ses parents à faire de hautes études, il obtient son titre de comptable agréé en 1974 et fonde son propre cabinet comptable l’année suivante. Après deux fusions de grande envergure, Serge désire relever un nouveau défi. Il quitte le navire.

Rentrer au travail était devenu un fardeau pour moi. Je n’aimais plus ce que je faisais et je ne me voyais pas y rester encore vingt ans. 

Il s’intéresse à Freightliner Montréal, un concessionnaire de camions lourds en faillite, puis se lance dans cette aventure entrepreneuriale avec un de ses clients et ami, Pierre Fournier.

Je n’ai pas choisi le domaine, j’ai choisi mon partenaire d’affaires. 

Les associés nomment Jean-Guy Mercier, un allié qui a beaucoup d’expérience dans le domaine, en charge des ventes. Ils savent qu’ils doivent partir de zéro et se doutent bien que les prochains mois ne seront pas faciles, le Québec étant en pleine récession. Ils recrutent des employés et louent une bâtisse de 70 000 pieds carrés qui abrite une immense salle de montre aux fenêtres de vingt pieds de hauteur.

« Il faisait très froid cet hiver-là et les vitres étaient toutes givrées. On avait l’impression d’être dans un igloo, on ne nous voyait même pas de l’extérieur ! »

Pierre et Serge ouvrent les portes de leur entreprise le 4 janvier 1994. En juin de la même année, une entreprise de ville d’Anjou qui vend des pièces de camions lourds fait faillite. Les hommes d’affaires y voient l’occasion d’ouvrir une deuxième succursale.

« C’était prématuré comme action. On commençait à peine dans le milieu, mais on a pris le bail. On était un peu naïfs. »

Ils engagent ensuite un collaborateur sans égal, leur directeur général Richard Guay.

 

Serge et Pierre

Jean-Guy et Pierre

 

C’était un ancien directeur du service, il était très compétent sur le plan de la technique et de la mécanique. Un gars honnête, une qualité essentielle pour moi. 

 

Progression constante

Quelques années plus tard, ayant surmonté plusieurs défis et réalisé quelques bons coups dont l’ouverture d’un troisième concessionnaire à Boucherville, l’entreprise, qui vend désormais les marques Freightliner, Western Star et Sterling, change de nom pour Globocam. 

On trouvait que c’était un beau nom, très marketing. Globocam : une solution globale pour le camion lourd.  

Deux ans plus tard, Serge rachète les parts de son associé, qui éventuellement deviendra membre du conseil d’administration. Il déniche ensuite un partenaire silencieux. En 2016, à la recherche d’un nouveau défi, il s’intéresse à la région de Québec. Il y achète deux nouveaux concessionnaires, soit un dans la Vieille Capitale et l’autre à Lévis. 

 Ç’a été toute une aventure. Une grosse transaction et beaucoup de pression !  

Georges Théberge, un homme natif de Lévis, sur la Rive-Sud de Québec, obtient le poste de directeur général et joue un rôle d’une importance capitale dans la réussite de ce nouvel acte.

Il s’appuie sur de précieux collaborateurs de l’organisation de Montréal, soit les vice-présidents aux ventes Guy Landry et François Giguère, le responsable des pièces et services Gilles Beaudoin, ainsi que René Campbell, à l’administration et aux finances.

« Il a pratiquement doublé le chiffre de ventes de camions là-bas. On n’aurait pas pu réussir sans lui et sans le support de nos alliés à Montréal. » 

À ce moment, Globocam a le vent dans les voiles plus que jamais.

 

Concessionaire Anjou (carrosserie)

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Sur les traces paternelles

Maxime Boyer, l’aîné des fils de Serge, travaille pour son père lorsqu’il est adolescent. Passionné par les chiffres et inspiré par le brillant parcours de celui-ci, il débute ses études à HEC Montréal en 1998.  

Mon père est une personne très intègre qui a bien réussi dans la vie. Il était pour moi LE modèle à suivre.  

Le bachelier complète ensuite un diplôme d’études spécialisées en finance à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) en 2005, enthousiaste à l’idée d’utiliser les chiffres à travers cette forme d’intelligence appliquée pour créer du rendement et de la richesse.  

Dans mon livre à moi, c’était là que ça se passait ! 

Le jeune comptable débute sa carrière dans un cabinet, où il oeuvre pendant presque trois ans en juricomptabilité, aidant des avocats à monter la preuve judiciaire économique sur des cas de fraude, de manipulation financière ou de blanchiment d’argent. Il se penche notamment sur le scandale des commandites, l’affaire Norbourg et la commission Charbonneau.

 

Toujours repousser ses limites

Ayant une soif vive d’apprendre, Maxime se spécialise ensuite en évaluation d’entreprise, un service-conseil qui gagne en popularité à l’intérieur de plusieurs firmes. Il joint un plus grand cabinet, soit Deloitte, qui lui permet de parfaire son anglais et d’être au service de clients à l’international. Souhaitant un  jour devenir associé, il se joint ensuite à la firme  Raymond Chabot Grand Thornton. L’aventure ne se déroule toutefois pas comme espéré et il quitte son emploi après six mois.  

« J’ai dû revoir ce que je voulais faire dans la vie. J’avais fait le tour du jardin. » 

Maxime devient alors banquier commercial pour la Banque Nationale du Canada. Il est directeur en transfert d’entreprise et fait preuve de créativité pour bien accompagner sa clientèle à travers ses transactions importantes. À trente-trois ans, il décide d’être aussi consultant à son compte. À force d’observer les transactions des entrepreneurs, il se sent fin prêt pour tenter  une nouvelle expérience et s’intéresse à une entreprise de distribution de moulée animale qui est à vendre. Il se tourne vers son père pour obtenir de l’aide financière. 

Il m’a demandé pourquoi je voulais acheter une entreprise plutôt que d’intégrer l’entreprise familiale. 

L’homme de 37 ans se souvient alors du conseil que son père lui a donné un jour, ainsi qu’à ses frères : travailler au moins dix ans à l’extérieur de son organisation avant de songer à en prendre la relève. 

Maxime se penche alors sur les chiffres de l’entreprise, qui est en bonne santé financière. Il y voit certainement un grand potentiel de croissance.  

Ça m’a intéressé tout de suite. J’étais aussi emballé par l’idée de pouvoir travailler avec mon père.   

Il conserve son emploi, prend quelques mois pour planifier une future relève de Globocam  et se joint à l’équipe en 2017. 

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Vision et valeurs...

Moderniser et innover

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Au départ, Serge invite son fils à gravir lentement les échelons. 

Maxime occupe le poste d’assistant au vice-président des ventes et obtient une certification comme représentant pour tout apprendre au sujet du camion lourd. Il observe aussi très attentivement les façons de faire déjà implantées au sein de l’entreprise. 

 Ce que j’ai vu à mon arrivée, c’est un diamant brut à polir.  

Maxime sent qu’il peut apporter plus à l’organisation en raison de son expérience en consultation, mais en étant adjoint d’un vice-président, il n’a pas accès au comité exécutif. 

On m’avait assis à la table des petits. Moi, je voulais être à la table des grands.  

Il identifie ce qui pourrait être bonifié, mais puisque le changement peut s’avérer menaçant pour certains, il prend son mal en patience pour ne pas heurter ceux qui étaient là avant lui. Il doit d’abord bâtir sa crédibilité et se faire accepter de tous. 

Si tu veux faire des changements, je crois que la bonne méthode, c’est de demander de l’aide et d’aller chercher les bons outils pour y arriver. 

 

Voir GRAND

Son plan d’action en tête, Maxime crée avec un ami entrepreneur un regroupement d’entrepreneurs sur la Rive-Sud de Montréal, qui éventuellement intègre le Groupement des chefs d’entreprises.

Je voulais briser l’isolement. Avoir des gens autour de moi qui comprenaient ma nouvelle réalité et qui pouvaient me conseiller.   

Il débute aussi une formation à l’École d’Entrepreneurship de Beauce (EEB) dans la cohorte Élite, ce qui lui permet de travailler sur lui-même pour être un bon meneur, authentique et accessible. 

« L’EEB, le regroupement des chefs et le Young President Organisation (YPO) m’ont permis de connaître de grands entrepreneurs qui m’aident encore aujourd’hui à réaliser
mes ambitions. » 

Se sentant mieux outillé, le futur repreneur s’entend avec son père pour engager un coach en transfert d’entreprise, un homme qu’il a croisé lors de sa formation à l’EEB.  

« J’avais besoin de quelqu’un pour m’aider à créer un lien avec les gens des générations passées, qui offraient de la résistance. » 

 

Il devient également vice-président du développement organisationnel, un poste créé pour lui permettre de s’assoir au comité exécutif..  

Ça ne voulait à peu près rien dire, mais ça ne faisait mal à personne. Ça me permettait surtout de prendre part aux discussions importantes. 

Il est dorénavant en charge des ressources humaines, du marketing et de l’équipe à la technologie de l’information (TI), obtenant ainsi une portée de gestion d’environ huit à dix employés.

 

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Contre vents et marées

Les nombreuses perturbations que l’organisation rencontre par la suite aident à la progression rapide de Maxime au sein de la direction. 

J’avais le bon nom de famille, mais toutes les crises rencontrées m’ont permis de démontrer que j’étais aussi capable de prendre de bonnes décisions.  

Une cyberattaque frappe Globocam en mars 2019. Les malfaiteurs demandent une rançon et Maxime est en charge de cette situation désastreuse. 

« Never miss a good crisis », comme disait Winston Churchill ! 

Pour émettre des diagnostics ou pour assurer la vente de pièces, Globocam a besoin de son réseau informatique, les camions lourds étant des ordinateurs en soi. En raison de l’attaque, l’entreprise n’est plus en mesure de le faire. Grâce à son passé en juricomptabilité, Maxime utilise ses contacts à Toronto pour s’aventurer sur le Dark Web.  

« On a trouvé une stratégie pour étirer le temps. » 

L’organisation ne paie pas la rançon et l’ordre est éventuellement rétabli. Ultimement, elle comprend l’inévitable. 

Notre équipe à l’informatique n’avait pas testé les failles du système. Une entreprise se doit de le faire, comme une école le fait avec ses exercices de feu !  

Globocam se tourne vers une firme externe pour s’occuper dorénavant de la TI.

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Toujours tirer le meilleur parti

En 2020, la crise sanitaire mondiale frappe : une deuxième impasse en peu de temps pour l’entreprise et ses concessions qui font maintenant face à l’incertitude. 

Globocam est toutefois vite considérée comme un service essentiel, étant entre autres responsable de l’entretien des ambulances, des camions de pompiers, de poubelles et de recyclage de plusieurs régions. Les activités reprennent après une fermeture d’un mois.

« Le plus gros impact a été du côté de nos camions neufs. Nos clients annulaient leurs commandes. On ne livrait plus de camions parce qu’on ne savait pas ce qui allait se passer. » 

Une gestion de liquidité s’impose : il faut notamment obtenir des extensions auprès des fournisseurs sur les délais de paiement et réorganiser la masse salariale de l’entreprise. Maxime prend le mandat. Après la crise, il ajoute à ses obligations le poste de vice-président des finances et de l’administration. 

 Je crois que la clef, c’est de placer les personnes au bon endroit, selon leurs forces. Une des miennes, c’est la finance.  

Le futur repreneur poursuit ainsi tranquillement la restructuration des équipes.

« Certains sont partis, certains ont comblé d’autres rôles. On a bien fait les choses. C’était important pour mon père, il était reconnaissant de l’apport de chacun à l’entreprise. »

 

Bonifier les rangs 

L’organisation se bute à une situation semblable en 2021, lorsqu’elle implante un nouveau système ERP pour toutes ses concessions. 

« Ç’a été la catastrophe ! Il y a eu de graves erreurs et ce sont les clients qui en ont subi les conséquences. »   

Une fois le feu éteint, le directeur général du territoire de Montréal se retire lui-même de ses fonctions, mais demeure dans l’organisation, cédant sa place à Maxime, qui ajoute ainsi un chapeau de plus à sa collection. Il engage ensuite la première vice-présidente aux ressources humaines de l’histoire de Globocam.  

« Je suis allé chercher une personne qui mettrait des efforts supplémentaires pour encore mieux former nos employés et créer une harmonie dans la culture d’entreprise de toutes nos concessions. » 

S’ensuit un premier lac-à-l’épaule en 2021, pour élaborer un plan stratégique sur trois ans. 

Ça nous prenait des talents qui partagent les valeurs de l’entreprise et dont le leadership est mobilisateur.

 

 

Un investissement de taille

En début d’année 2022, pour répondre aux besoins de sa clientèle grandissante, l’organisation procède à l’ouverture  d’un nouveau concessionnaire qu’elle a bâti de toutes pièces.  Situé dans l’Est de Montréal, il est facilement accessible,  étant aux abords de l’autoroute métropolitaine. 

Vingt-deux millions de dollars, notre plus grand investissement. Un State of the art absolument incroyable !   

Ce point de service supplémentaire est moderne, avec notamment des plafonds radiants et acoustiques qui veillent à la  santé et à la sécurité des travailleurs. 

Lors de sa grande ouverture, toute l’équipe exécutive américaine de Daimler s’est déplacée pour y être, du jamais-vu en 30 ans.    

«  On en est vraiment fiers  »

 

Ne jamais baisser les bras 

Durant cette même période, Maxime constate que toutes les responsabilités rattachées à ses nombreux titres deviennent lourdes à porter, pour sa famille aussi. Il traverse une autre impasse, malheureusement personnelle cette fois, une séparation.  

Maxime se retire donc de son poste à la tête des opérations.

Ce sont des défis que j’ai dû surmonter pour devenir un meilleur dirigeant et une meilleure personne.  

Ce retrait ne freine aucunement ses ambitions, si bien qu’il présente une nouvelle stratégie à son père et au conseil d’administration. Ce plan est accepté de tous. À 43 ans, Maxime devient alors président de Globocam.  

« Mon père demeure sur le C.A. Il agit comme conseiller au sein de l’entreprise, dont il est toujours propriétaire. » 

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Une renommée exceptionnelle

Globocam compte maintenant dix concessions situées à Anjou, Pointe-Claire, Boucherville, Montréal-Est, Québec, Lévis, Sherbrooke, Trois-Rivières, en Beauce, et pour souligner brillamment ses trente ans d’existence, la plus récente à l’extérieur du Québec, à Cornwall en Ontario.

Fière représentante de Daimler et de ses marques Freightliner et Western Star, l’entreprise offre une solution globale pour le camion lourd afin de cerner tous les besoins, que ce soit pour l’achat d’un camion neuf ou sur la plan du financement, des pièces, du service ou de la carrosserie.  

Notre mission, c’est de maintenir les camions sur la route. Et tout passe par l’innovation.  

L’entreprise dispose d’une superbe notoriété, ce qui contribue grandement à sa constante évolution. Le travail acharné et l’intégrité de Serge Boyer durant toutes ces années y sont certainement pour quelque chose.

« Mon père me laisse une entreprise établie et solide financièrement. Je lui donne un nouveau souffle avec de nouvelles façons de faire. »

 

Raviver la flamme 

Avec le temps, Maxime instaure de nouveaux procédés. Il abolit les postes de directeur général de Québec et de Montréal, déploie une structure de gestion provinciale et place plutôt des directeurs de concession dans chacun de ses dix points de service. Il s’assure ainsi d’une meilleure communication entre toutes les parties.

« Avec une direction générale à Montréal et une autre à Québec, on était comme des petits châteaux et des petits royaumes. Je voulais que tout le monde travaille dans le même sens. » 

Maxime nomme aussi un de ses hommes de confiance, Georges Théberge, en charge de la transformation du département des pièces. Ce segment d’affaires qui peut parfois paraître morne s’avère l’un des plus profitables de l’entreprise. Georges désire faire progresser les ventes en développant de nouvelles stratégies et de nouveaux marchés. Il compte notamment démontrer à la clientèle que certaines pièces peuvent améliorer le rendement et la rentabilité d’un camion.  

Maxime, c’est une bouffée d’air frais. Il m’a sorti de ma zone de confort. Il est visionnaire. J’ai rencontré peu de gens comme lui dans ma vie. 

 

Le jeune repreneur est surtout fier que son équipe contribue activement à faire rouler l’économie du Québec.

 

Collectivement unis 

L’équipe de Globocam investit beaucoup de temps pour aider les gens dans le besoin. Elle participe notamment aux espaces 24 h de Tremblant, au Défi Pierre Lavoie et au Défi Bonneville, des évènements sportifs qui amassent des fonds pour contribuer au mieux-être des enfants et des étudiants. Maxime le voit aussi comme une occasion de bâtir une belle complicité à l’intérieur de l’entreprise. 

Je pense que c’est important d’être en santé et d’avoir de bonnes habitudes de vie. Si tu veux former de bons leaders, tu dois montrer l’exemple.  

L’organisation donne également des bourses aux enfants de ses employés afin d’appuyer leurs études post-secondaires, une initiative de Serge Boyer.  

« Avec le coût élevé de la vie, c’est difficile pour certains parents de donner accès aux études supérieures à leurs enfants. Pour mon père, c’était important et j’en suis très fier. »

Aussi, pour son 30e anniversaire, Globocam lance un programme novateur au Québec : Rêve de vie. Il vise à aider 30 employés, chaque année à partir de 2024, à réaliser un rêve et vivre un moment unique.

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En coulisse...

Un clan brillant !

Maxime Boyer
Président 

Maxime est adepte de l’optimisation de la valeur et du positionnement des organisations pour un succès durable. Il aime encourager ses travailleurs à être autonomes en les responsabilisant. Il est aussi primordial pour lui d’être accessible en tout temps, sa porte étant toujours ouverte.  

Maxime est loyal, intègre, résilient, et fait preuve d’une grande capacité d’introspection. Il est fier de son parcours et le recommande à de futurs entrepreneurs. 

« Être consultant dans une firme avant d’intégrer l’entreprise familiale, c’est la meilleure formation, selon moi. Ensuite, c’est d’avoir la fibre en soi, être humble et confiant. » 

 

Serge Boyer
Fondateur

Serge est un patron accessible, à l’écoute et généreux. Il est reconnaissant envers toutes les personnes qui ont travaillé à ses côtés durant les trente dernières années pour contribuer au succès de son entreprise.  

Réservé, travaillant et persévérant,  son intégrité est un legs exceptionnel  pour ses enfants. 

« Mon père est réfléchi et équilibré. C’est ce qui a contribué à protéger son organisation. » 

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Une esquisse de l’avenir...

Une contrée encore plus vaste

Globocam souhaite améliorer son offre de services en se dotant d’une meilleure représentativité géographique. 

Elle prévoit donc faire de nouvelles acquisitions, même à l’extérieur du Québec, afin de mieux accompagner les chauffeurs de camions lourds qui sillonnent des routes allant jusqu’à l’Ouest Canadien ou jusqu’en Californie. 

« Ça nous permettra de consolider le marché, en plus de s’attaquer au problème criant de relève. » 

Pour poursuivre sa croissance, l’entreprise doit également subir une transformation numérique et proposer une nouvelle offre de service appuyée par l’intelligence artificielle. 

Nous voulons être LA référence dans l’Est de l’Amérique du Nord. 

 

Pour une route plus verte 

Consciente de l’empreinte écologique de son industrie et endossant sa responsabilité sociale, l’organisation investit dans l’énergie durable, soit l’électrique, le gaz naturel et l’hydrogène. 

« On doit bien accompagner nos clients dans ce changement essentiel de comportements qui représente un immense investissement pour eux. »  

En mobilisant toutes ses équipes pour aller en ce sens, Maxime compte définitivement faire la différence, non seulement en tant qu’entrepreneur, mais aussi en tant que bon père de famille.

Je ne veux pas seulement m’occuper de mes employés, de mes clients ou de la santé financière de Globocam; je veux redonner à la communauté en étant une entreprise responsable. 

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Globocam

11 275, boul. Métropolitain Est
Montréal-Est (Québec) H1B 1A3

514 353-4000 I 1 844 238-5558

globocam.ca

Éditeur : Memorial Editions
Direction de l’édition : Audrey Dallaire
Auteure : Mélissa Lussier
Conception graphique : Liliane Racine
Révision : Marcelle Racine

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